Récemment une rieuse de Poitiers m’a appelée 𝗛𝗮𝗽𝗽𝘆𝗰𝘂𝗹𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲. Waouh quel honneur !
Moi qui réfléchissais à la meilleure façon de me présenter et de résumer mon activité, j’en étais récemment arrivée à la dénomination « professionnelle de la joie »
La joie est au cœur de ma pratique : que ce soit avec la Rigologie, le coaching en joie de vivre, mes thèmes d’ateliers d’art-thérapie…
Mais la joie de vivre ne se limite pas à la légèreté : dans ce qui m’anime, il y a également la profondeur, la recherche de sens. Quand j’accompagne toute personne, même endeuillée ou souffrant de burn out, c’est à partir du cœur, cette source de la joie, que je me positionne. Ce n’est pas forcément exubérant ni même extériorisé. C’est une joie paisible et sereine, une façon d’être au monde, nourrie de mon parcours et de ma confiance en la Vie.
Peut-être un jour apporterais-je aussi la joie à l’hôpital via mon personnage de clown…
Et c’est là que le terme 𝗛𝗮𝗽𝗽𝘆𝗰𝘂𝗹𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 résonne encore plus fort : être professionnelle de la joie, c’est faire de la place à l’élan vital, y compris là où l’on pense que la joie ne peut pas advenir, là où l’on pense qu’elle a disparu ou qu’elle s’est éteinte…
Être 𝗛𝗮𝗽𝗽𝘆𝗰𝘂𝗹𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲, c’est ouvrir un espace où l’on peut se (re)connecter à sa joie de vivre, petit à petit, en douceur, chacun.e à son rythme…
Être 𝗛𝗮𝗽𝗽𝘆𝗰𝘂𝗹𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲, ce n’est pas répondre à l’injonction au bonheur de notre époque, mais transmettre les outils de la libération émotionnelle et de la psychologie positive pour que chacun.e puisse s’épanouir, se faire confiance et savourer les instants de joie que la vie lui offre…
Cultiver la joie, quel beau métier !